Dans le cadre de la course à la Maison Blanche, le candidat républicain s’est exprimé sur l’IVG.
8 avril 202401
Dans le cadre de la course à la Maison Blanche, le candidat républicain s’est exprimé sur l’IVG.
8 avril 202401
Lors d'une cérémonie publique, la « liberté garantie » de recourir à une interruption volontaire de grossesse a été symboliquement inscrite dans la Constitution.
9 mars 2024Les sénateurs et les députés étaient réunis à Versailles cette semaine pour inscrire dans la Constitution le droit à l’interruption volontaire de grossesse.
7 mars 2024Imaginer que l’inscription dans la Constitution pourrait rendre une décision irréversible n'est-il pas une illusion qui relève d’une forme de pensée magique ?
5 mars 2024Niveau d'études, nationalités, départements, âge... voilà les données.
1 mars 2024Le Vatican s'est opposé, via son média officiel, à l'inscription dans la Constitution française de la "liberté garantie" pour les femmes d'avoir recours à l'IVG.
9 février 2024Gérard Larcher, opposé à l'inscription de l'IVG dans la Constitution, a récemment déclaré que le droit à l'avortement "n'est pas menacé dans notre pays". La gauche n'hésite pas à instrumentaliser ce débat pour caricaturer la droite.
29 janvier 2024Le texte devrait être examiné au Parlement au premier trimestre 2024. Les députés et les sénateurs se réuniront ensuite en Congrès.
18 novembre 202308
Au total, 234.300 IVG ont été enregistrées en France en 2022, soit 17.000 de plus qu’en 2021 et environ 7.000 de plus qu’en 2019.
27 septembre 202309
La sénatrice Mélanie VOGEL (EELV, Représentant les Français établis hors de France) élue le 26 septembre 2021 a déposé une Proposition de loi (PPL) le 2 septembre 2022 visant à inscrire l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution
29 novembre 2022L’Assemblée nationale a adopté, ce jeudi 24 novembre, à une large majorité, la proposition de loi constitutionnelle « visant à garantir le droit à l’interruption volontaire de grossesse » : 337 voix pour, 32 voix contre et 18 abstentions.
24 novembre 202211
La loi sur l'allongement du délai légal pour pouvoir pratiquer un IVG en France vient d'être adoptée par le Parlement. Cette période passe de 12 à 14 semaines.
23 février 202212
Cinquante ans après le manifeste des 343 sur le droit à l'avortement, 343 femmes réclament, dans une tribune parue dans le JDD ce week-end, l'allongement des délais légaux d'accès à l'IVG en France.
5 avril 2021Les députés ont adopté en commission des affaires sociales une proposition de loi visant à allonger de 12 à 14 semaines de grossesse le délai légal pour recourir à l'avortement. Le texte sur l’allongement du délai de l’avortement sera examiné à l’Assemblée nationale le 8 octobre. Que contient cette proposition de loi ? En quoi cet allongement peut être inquiétant ?
2 octobre 2020Adopté lors de l’examen de la loi de bioéthique, un amendement sur l’interruption médicale de grossesse (IMG) est au coeur d'une polémique. L’IMG, ou un avortement thérapeutique, peut être réalisée jusqu’à la fin de la grossesse si l’enfant à naître est atteint d’une affection particulièrement grave et incurable ou si la grossesse met en péril la santé de la femme enceinte.
4 août 2020L'accès à une interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à domicile est étendu jusqu'à neuf semaines en cette période de crise liée au coronavirus.
15 avril 202016
La campagne de la primaire en vue du second tour a commencé lundi soir pour le maire de Bordeaux, avec une attaque remarquée pour sa virulence contre François Fillon sur ses convictions en matière de droits des femmes. Et Alain Juppé pourrait bien ne pas en ressortir indemne.
25 novembre 2016"La multiplication de ces pratiques trompeuses est inquiétante" au regard de "l'importance des informations en ligne en matière de santé", estime le groupe PS à l'Assemblée nationale.
13 octobre 201618
La suppression du délai de réflexion pour les interruptions volontaires de grossesse sera votée prochainement par les députés dans le cadre de la loi santé.
8 avril 2015Il y a 40 ans Simone Veil avait choisi d'avancer des arguments de santé publique et de mettre en avant la situation de "détresse" des femmes concernées, afin de défendre la loi qu'elle portait.
26 novembre 2014